Queffelec, patron du Finistère [Personnage fictif]
D'ar Yaou c'hwec'h warn ugent a viz Gwengolo 2019
Demat d'an holl,
Je présente ici l'utilisation du mot Queffelec dans un conte écrit par Jean FABERT.
Jean FABERT a écrit pour le journal "Excelsior" un conte intitulé "Circonstances atténuantes". Le personnage Queffelec est marin pêcheur, patron
du chalutier "Finistère". Les personnages et le thème sont bretons. Jean FABERT l'était-il ?
Mes recherches sur ce Jean FABERT n'ont pas abouti.
Je mets à titre indicatif, sans pouvoir affirmer qu'il s'agisse de la même personne malgré les concordances des dates, ce que j'ai trouvé sur Jean FABER écrivain et Jean FABERT metteur en scène/acteur.
Cher lecteur si vous en savez davantage appelez-moi ou écrivez-moi :
Tél 06 28 39 77 88
yves.lequeffelec@cegetel.net
Trugarez vras
Youenn ar C'heveleg
Yac'h
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Liste des articles du blog Queffelec a-drak
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Plan de l'article:
1) Quotidien Excelsior, édition du jeudi 19 décembre 1935
2) Jean FABER écrivain
3) Jean FABERT filmographie
4) Quotidien Excelsior, histoire
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1) Excelsior, édition du jeudi 19 décembre 1935
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2) Jean FABER écrivain
La Ronde des fantômes
Format 19x12 315PAGES
Editions Nouvelle revue critique
Faber, Jean, Le Vieux Village de Montmartre. Eaux-Fortes d'Eugène Delatre.
Paris, d'Alignan, éditeur, 1920. In-4 broché sous couverture rempliée illustrée par Steinlen. 66 pp, 1 ff non chiffré, 36 ff (eaux-fortes), 2 ff de
table et achevé d'imprimer.
Illustrations in et hors texte en noir et blanc, et en fin de volume les 36 planches d'eaux-fortes originales d'Eugène Delatre.
Tirage limité et numéroté à 278 exemplaires
La Seine à travers Paris
Éditeur : E.-F.d'Alignan, date d'édition : 1919
Un volume in-4 (28 cm x 22,5 cm), 53 pp. Illustrations à l'eau-forte de Gor (10 hors-texte, 1
vignette in-texte) . Un des 125 exemplaires sur Hollande à la forme signé par
l'illustrateur (C.Gor) contenant les Eaux-fortes terminées en couleurs.
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3) Jean FABERT filmographie
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4) Quotidien Excelsior, histoire (source l'Argonaute) :
Dans le premier numéro paru le 16 novembre 1910, son fondateur, Pierre Lafitte se propose de faire du nouveau journal « le cinématographe de l’actualité universelle » et conclut ainsi son programme : « Le lire, ce sera tout voir. » L’Excelsior occupe une place particulière au sein de la presse française : il consacre en effet un espace important à l’image et plus particulièrement à la publication de photographies.
L’ordre des termes dans le sous-titre de l’Excelsior « journal illustré quotidien » montre bien la priorité donnée à l’image : avant d’être un quotidien, il s’agit d’un journal illustré. Cette caractéristique s’affiche avec plus de force encore à partir de fin 1911, puisqu’est imprimée chaque jour dans le bandeau de titre une citation de Napoléon : « le plus court croquis m’en dit plus long qu’un long rapport. »
Contrairement à ce qui est parfois affirmé, l’Excelsior n’est cependant pas le premier quotidien français à publier des photographies, mais c’est celui qui en fait un argument de vente et qui va le premier y consacrer de pleines pages. D’autres quotidiens (Le Matin, Le Journal, etc.) ont publié des photographies avant 1910 : elles paraissent régulièrement en une, mais leur largeur y dépasse rarement une à deux colonnes et elles sont très rares dans les pages intérieures. La situation est cependant bien différente dans la presse hebdomadaire : l’image, et l’image photographique de plus en plus, est déjà très présente. Dans certaines publications, elle occupe de pleines pages, voire l’essentiel des pages. A partir de la fin du XIXe siècle paraissent de nouvelles revues dans lesquelles les photographies et leur présentation dans des mises en page attrayantes ont une part prépondérante. Un grand nombre de ces titres a d’ailleurs été créé par le même fondateur que l’Excelsior.
La déclinaison sous forme de journal quotidien d’une formule très illustrée n’est cependant pas sans causer des difficultés. La plupart des hebdomadaires est publiée sur papier couché ou glacé et en héliogravure, ce qui permet une bonne qualité de l’image. Reproduites en similigravure, les photographies publiées dans l’Excelsior sont globalement de mauvaise qualité et ne peuvent rivaliser pendant la guerre avec celles reproduites dans des publications telles que le Miroir ou l’Illustration. La question des délais de transmission des images est également plus difficile à gérer pour un quotidien que pour un hebdomadaire. Aussi dans les légendes des images, la date de l’événement représenté n’est-elle souvent évoquée que très vaguement (même pour des sujets sans intérêt stratégique), ce d’autant que l’Excelsior couvre abondamment les fronts les plus lointains, les actions des troupes étrangères, aussi bien alliées qu’ennemies.
Malgré ces difficultés et les variations du nombre de pages qu’il est possible de publier selon les périodes, l’importance de l’image dans le journal est maintenue tout au long de la guerre. Dans les périodes fastes, l’image occupe au moins quatre pleines pages sur douze à seize, dont la une et une double page intérieure, qui permet des mises en page parfois très élaborées (par exemple, n° 2245 du 7 janvier 1917). Lorsque le nombre de pages tombe à quatre ou six, la une et parfois la dernière page lui sont encore dédiées. Avec un léger différé, l’Excelsior tient donc en grande partie les promesses de ses débuts, faisant paraître chaque jour des photographies qui montrent l’actualité sur tous les fronts.
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